![[En construction]](images/undercon.gif)
| | Etude et argumentation du comptage de mots Je recadre ici les arguments trouvés pour valider le découpage en mots dans la dernière phrase de la 530 où je découvre les mots eternite et verite en anagrammes parfaits, en me basant sur le fait que le mot "d'être" compte pour un seul mot. 
Première argumentation et de taille : les deux anagrammes sont obtenus indépendamment l’un de l’autre, la phrase étant découpée par une virgule donc séparés ce qui renforce la validité du décryptage en éloignant une méthode de trituration forcée à partir de 14 lettres.
Deuxième argumentation : les mots trouvés VERITE & ETERNITE sont précisément uniquement dans le texte de cette énigme : ceci diminue toute coïncidence, de plus les deux mots trouvés sont des noms, pas des adverbes, pas des adjectifs.
Troisième argumentation : ces deux mots étaient par ailleurs avant cette découverte, sujets à méditation et interrogations sur leur sens dans le texte.
Quatrième argumentation : l’anagramme de vérité est parfait et se décrypte dans l’ordre :
Pour trouver mon tout il suffit d’être sage : donne ver it e
car la verite en verite ne sera pas affaire de devin : donne te te ire n
Nombreuses furent les critiques concernant le mot « d’être » comptant pour un seul mot ; il apparaît bien que l’Académie considère ceci comme deux mots mais rien n’interdit que Max ait choisi ce découpage pour arriver à son but et c’est bien cela qui compte.
De plus plusieurs arguments semblent valider cette façon de découper les mots en intégrant le mot élidé avec le mot suivant :
a) l'IS comme me l’a signalé le chercheur Buonardo : cette IS nous invite à prendre en blocs les groupes comportant une apostrophe (C’EST et L’AN) c’est certainement là le but de cette IS et pas de nous indiquer Roncevaux.
DB BZ
T'FTU R’DRS
QBTTF OZRRD
FO DM
M'BO K’ZM
889 667
b) la même méthode de caractérisation d’un mot dans le décryptage de Orval, deuxième chasse de Max, il serait extrêmement étonnant que l'auteur modifie sa façon de couper les mots (c’est certainement un coup de pouce pour la chouette), dans Orval « D’ICI et D’ETRE » sont chacun un mot.
c) la référence à des ouvrages courants pour découper les mots : c’est le cas par les définition données par tous les dictionnaires (séparation par un blanc, un espace) pour le simple quidam il suffit de lire le dico pas de connaître l’avis de l’Académie (voir en bas de page le courrier adressé à l'Académie par le chercheur M'enfin)
d) une ineptie de conception : en effet un des 2 reliquats de la 530 aurait été imparfait si d'être avait été compté 2 mots, mais cela aurait fait bâclé pour un décryptage de trouver VERIT_ et ETERNITE, donc pourquoi Max se serait-il privé de faire compter D’ETRE pour un seul mot ?
Voilà je pense un solide argumentaire qui confirme totalement le décryptage de cette dernière phrase de la 530, générant la clef de passage et nos premiers reliquats.
d) la conception de Max sur ce point
QUESTION No 45 du 17/02/1999
------------------------------------
TITRE : SUPERSOLUTION
------------------------------------
QUE DES MOTS AVEC CONTRACTION, DONC, SE COMPTENT PARFOIS COMME UN MOT, PARFOIS C OMME DEUX ET CE, D'UNE MANIERE PUREMENT ALEATOIRE ? TROUVEZ-VOUS CELA ELEGANT ?
------------------------------------
JE NE PUIS VOUS DIRE SI C'EST LE CAS POUR LA CHOUETTE OU NON. CETTE RESERVE (INDISPENSABLE !) FAITE, IL EST DE TRADI TION POUR LES CRYPTOGRAMMES, EN FRANCAIS MAIS AUSSI DANS LES AUTRES LANGUES, DE NE PAS TENIR COMPTE DES ELISIONS, CONTRA CTIONS, ETC. CE QUI NE SERAIT PAS ELE- GANT, CE SERAIT DE PASSER D'UNE TECHNI-QUE A L'AUTRE AU SEIN D'UNE MEME ENIGME, SANS RAISON. MAIS JE CROIS QUE LE CRYPTA GE ALPHANUMERIQUE N'A DE TOUTES FACONS RIEN D'ELEGANT. IL FAUT L'UTILISER POUR CE QU'IL VAUT, MAIS NE PAS EN ABUSER. VOILA CE QUE JE PENSE. J'ESPERE AVOIR REPONDU AMITIES-- MAX
Courrier envoyé par le chasseur M'enfin à l'Académie Française : "Bonjour,
Je me permets de vous écrire aujourd'hui afin que, en tant que garants de la langue française, vous soyez en mesure de trancher un débat qui revient régulièrement dans le cercle de mes amis quand nous discutons orthographe :
Lorsqu'il s'agit de comptage de mots dans un texte, doit-on considérer l'assemblage de deux mots par une élision comme un seul mot ou doit-on compter deux mots (p. ex. "il suffit d'être" compte pour 3 ou 4 mots ?).
Malgré mes recherches dans de nombreux ouvrages, aucune réponse claire ne m'est apparue. Je pense que vous serez en mesure de régler cette question ?
En vous remerciant par avance pour votre réponse, veuillez agréer mes respectueuses salutations."
et voici la réponse que je viens de recevoir :
"Monsieur,
Un mot, même s'il se présente sous une forme élidée reste toujours un mot. On compte quatre mots dans "il suffit d'être" ; on en compte deux dans "l'ours" etc.
Cordialement,
P.V."
|
le PASS ou AUSWEIS est obscène 
les psychopass sont des moutons 
