CHERCHEUR DE CHOUETTE        

          

              LES SOLUTIONS DE DELPHINUS                       

 

      le PASS ou AUSWEIS est obscène  les psychopass sont des moutons    

 

Le NNP

 

La chasse "Sur la trace de la Chouette d'Or" est un jeu de sagacité, qui demande une ouverture d'esprit tournée sur la capacité de l'individu à disposer pleinement et en toute conscience d'un esprit critique et rationnel indépendant.

On ne peut se dire cartésien et astucieux dans un jeu de sagacité sans remettre en question ses solutions tout comme les dogmes imposés par une civilisation occidentale qui tend à uniformiser, contrôler et orienter nos modes de pensée par un politiquement correct, vers un Ministère de la Vérité, sans rejeter de facto le chant des Sirènes qui nous attirent vers l'échec et le chaos.

Ignorez les savants auto-philosophes proclamés qui ont tout compris des solutions de cette chasse, ignorez les grenouilles gonflées de vanité, les prétentieux et les inconscients, vous n'avez ni dieu ni maître, tout repose sur votre capacité à remettre en cause le communément admis  : soyez libertaires, créatifs, soyez intelligents !

“Le pire ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance, mais l’illusion de la connaissance” 

 Stephen Hawking

 

"La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence, infiniment plus profonde. L'intelligence a des limites, la bêtise n'en a pas. "

Claude Chabrol

 

Accueil Remonter     

[En construction]

Accueil

 

 

le décryptage de Grillon appliqué sur le texte décrypté est l'élément essentiel et qui rend le décryptage plus facile de cette énigme 600 :

 LA CLEF SE CACHE SUR UN NAVIRE NOIR PERCHE permet de trouver NIEPCE inventeur de la photographie

 

préliminaires :

rappel des découvertes de la 580 : 4 villes sont décryptées et leur position sur la carte donne le but : DABO

nous découvrons que les 4 villes décryptées dans cette énigme confirment l'apparition de DABO dans la chasse, or DABO traduit pas le codage donné par l'énigme 580 nous donne :

D A B O soit  ER AL IS O soit l'anagramme de SOLAIRE

signalons aussi que le centre de gravité pondéré des 10 villes tombe à peu près (de manière acceptable, à moins de 6 km) sur VEZELAY

 

nous remarquons que les 2 premières lettres des villes alignées  BORT - LE DONJON - DABO donnent BOLEDA soit ALBEDO et l'abdedo , du latin blancheur, est le rapport de l'énergie solaire réfléchie par une surface à l'énergie solaire incidente.

l'albedo de la lune est exceptionnellement faible : la lune est un corps noir, sombre. (albedo 0,136)

 

rappel des découvertes de la 600 : nous avons découvert CIVRAY de code postal 86400 (nombre de secondes dans un jour solaire) par la multiplication du nombre de lettre de chaque mot de phrase codée LA CLESF SE CACHE...

le code NAVIRE doit être appliqué à MAIN TENIR CLEF, l'action est le verne TENIR qui en codage NAVIRE donne GRAVE (dans l'ordre)

nous obtenons alors une droite : POINTE DE GRAVE - CIVRAY - VEZELAY - DABO

 ce qui nous donne une droite dont CIVRAY et DABO correspondent à JOUR (CIVRAY) --- SOLAIRE (DABO)

très intéressant car à VEZELAY se trouve la cathédrale Sainte Marie Madeleine célèbre pour sa lumière (wiki) et le terme nef encalminée peut s'y appliquer

                                              

En 1976 après plus de huit siècles, Hugues Delautre (1922-2008) l'un des pères franciscain chargés de la desserte du sanctuaire de Vézelay, découvre que non seulement l'axe d'orientation de La Madeleine, mais aussi sa structure interne, ont été déterminés en tenant compte de la position de la terre par rapport au soleil. Chaque année la fête de Jean-Baptiste révèle les dimensions cosmiques de cette église : au plein midi du solstice d'été, quand le soleil est en culmination par rapport à la terre la lumière venue des fenêtres sud projette des flaques lumineuses qui s'établissent dans le plein milieu de la nef avec une rigoureuse précision (voir photographie ci-dessous)

Nef de la basilique, le 23 juin 1976 à 14h27. Photographie de François Walch

 

notons que ce phénomène a lieu le jour de la fête de Jean-Baptiste que l'on retrouve dans l'énigme 500 par l'hymne à St Jean-Baptiste attribué à Paul Diacre

à mon sens ces 2 énigmes la 580 et la 600 nous permettent de faire l'hypothèse que la nef encalminée est la basilique de VEZELAY

il nous faut maintenant utiliser le codage NIEPCE de la phrase LA CLEF SE CACHE SUR UN NAVIRE NOIR PERCHE

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Wiki :

Joseph « Nicéphore » Niépce, né le 7 mars 1765 à Chalon-sur-Saône (actuelle Saône-et-Loire) et mort le 5 juillet 1833 à Saint-Loup-de-Varennes (Saône-et-Loire), est un ingénieur français, connu comme étant l'inventeur de la photographie, appelée alors « procédé héliographique »

 Nicéphore Niépce 

Physicien français (Chalon-sur-Saône 1765-Saint-Loup-de-Varennes 1833).  (extrait de Larousse)

Universellement connu aujourd'hui pour l'invention de la photographie, il mourut sans se douter de l'immense succès et des nombreuses applications qu'allait connaître cette technique d'enregistrement des images. Son ingéniosité s'exerça aussi dans d'autres domaines.

En l'absence de son frère, Nicéphore entreprend seul, en 1816, de nouvelles recherches sur un sujet qui lui tient depuis longtemps à cœur : la fixation des images. La lithographie, mise au point à la fin du xviiie s. par Alois Senefelder, le passionne. Cherchant un moyen de décalquer ou de reporter sur la pierre les images qu'il souhaite reproduire, il parvient, en mai 1816, grâce à une chambre noire, chargée avec un papier enduit de chlorure d'argent, à obtenir un négatif d'une vue prise depuis une fenêtre, qu'il ne peut malheureusement pas fixer et qui noircit complètement à la lumière.

En 1822, il commence à expérimenter le bitume de Judée : cette substance noire a en effet la propriété de blanchir et de devenir insoluble là où elle est impressionnée par la lumière. Une plaque de cuivre enduite de cette substance et exposée huit heures durant dans la chambre noire, puis plongée dans un solvant (essence de lavande) et attaquée par un acide dans les parties dépourvues de bitume fournit ainsi une image en relief. Nicéphore obtient en 1827, par ce procédé qu'il appelle Héliographie, après huit heures d'exposition, ce qui constitue la toute première photographie connue de l'Histoire, intitulée le Point de vue du Gras: une vue prise d'une fenêtre du grenier de sa maison de Saint-Loup-de-Varennes. On lui doit aussi la première chambre noire photographique, la première chambre coulissante, le premier diaphragme à iris (réinventé cinquante ans plus tard), ainsi qu'une chambre munie d'une bobine pour l'enroulement du papier sensible.

Après avoir rencontré Louis Jacques Mandé Daguerre, un peintre décorateur qui utilise la chambre noire pour faire les croquis de ses dioramas, Niépce s'associe avec lui en 1829 pour parfaire ses réalisations « héliographiques ». Mais il meurt subitement quatre ans plus tard, d'une hémorragie cérébrale, lourdement endetté et sans être parvenu à intéresser personne à son invention. C'est Daguerre qui, reprenant à son compte les expériences de son associé, réussira à développer (1835), puis à fixer (daguerréotype, 1838) les images photographiques, et en retirera de son vivant une grande célébrité. Le rôle de Nicéphore Niépce dans l'invention de la photographie est cependant pleinement reconnu aujourd'hui.

 

Description de cette image, également commentée ci-après

Louis Daguerre, né le 18 novembre 1787 à Cormeilles-en-Parisis (Val-d'Oise), mort le 10 juillet 18511 à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne), est un peintre et photographe français2. Sa commercialisation du daguerréotype inspiré des travaux de Joseph Nicéphore Niépce a fait qu'il a un temps été considéré comme l'inventeur de la photographie

Le daguerréotype n'est pas le premier procédé photographique, mais les images des procédés antérieurs avaient tendance à disparaître rapidement une fois exposées à la lumière. Le procédé photographique des daguerréotypes est ainsi l'un des premiers à enregistrer et à afficher une image de façon permanente et il est donc devenu le premier procédé photographique utilisé commercialement.

Le terme daguerréotype provient du nom de son inventeur, l'artiste et décorateur français Daguerre, qui découvre ce procédé en 1835. Après des années de perfectionnement, il présente sa découverte à l'Académie française des sciences le 9 janvier 1839.

Le brevet de Daguerre est acquis par le gouvernement français qui, le 19 août 1839, annonce l'invention comme étant un « don au monde ».

Le daguerréotype est un procédé uniquement positif ne permettant aucune reproduction de l'image. Il est constitué d'une plaque, généralement en cuivre, recouverte d'une couche d'argent. Cette plaque est sensibilisée à la lumière en l'exposant à des vapeurs d'iode qui, en se combinant à l'argent, produisent de l'iodure d'argent photosensible. Lorsqu'elle est exposée à la lumière, la plaque enregistre une image invisible, dite « image latente ». Le temps d'exposition est d'environ vingt à trente minutes, soit beaucoup moins que les méthodes précédentes qui nécessitaient plusieurs heures d'exposition.

Le développement de l'image est effectué en plaçant la plaque exposée au-dessus d'un récipient de mercure légèrement chauffé (75 °C). La vapeur du mercure se condense sur la plaque et se combine à l'iodure d'argent en formant un amalgame uniquement aux endroits où la lumière a agi proportionnellement à l'intensité de celle-ci. L'image ainsi produite est très fragile et peut être enlevée en chauffant la plaque, ce qui produit l'évaporation du mercure de l'amalgame.

 

Cette image est la première photographie de la Lune montrant ses détails, réalisée par John William Draper en 1839. Elle fut prise à travers un télescope sur un daguerréotype avec un temps de pose de 30 minutes

La première utilisation de l'astrophotographie est créditée à John William Draper le 23 mars 1840 pour un daguerréotype de la Lune, même si Louis Jacques Mandé Daguerre, inventeur du procédé photographique qui portera son nom avait fait l'année plus tôt une photographie de la Lune mais celle-ci n'était qu'une vulgaire tache floue.

La première photographie stellaire est quant à elle attribuée à Bond et Whipple, il s'agit également d'un daguerréotype mais de l'étoile Véga, principale étoile de la constellation de la Lyre. Ce cliché a été réalisé dans la nuit du 16 au 17 juillet 1850 avec la lunette de l'observatoire de l'université Harvard à Cambridge.

Le premier objet du ciel profond fut, quant à lui, photographié le 30 septembre 1880 par Henry Draper, le propre fils de John William Draper. Il s'agit de la grande nébuleuse d'Orion (M42) avec un instrument de 28 cm de diamètre sur une plaque photographique au collodion humide.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

vous l'aurez compris le navire noir perché est la lune.

Étymologie

Le mot Lune provient du latin Luna. La forme latine *luxna rapproche Luna de lux, « lumière » dont la racine serait *leuk, mot indo-européen[réf. souhaitée] signifiant être lumineux. Le mot « Lune » aurait été utilisé en France en 1080 pour « astre satellite de la Terre »

par ailleurs, l'aune s'écrit de deux façons AUNE ou AULNE, or LA LUNE = L'AULNE anagramme très sympathique

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

le NNP est la LUNE explications :

- le visuel montre une clef

- le texte nous fait découvrir les chiffres arabes, les Maures et la première inscription latine

regardons le drapeau de la Mauritanie Drapeau un croissant de lune et une étoile à 5 branches

!!! nous devons associer ces éléments et en latin la clef se dit clavis

or sur la face visible de la lune le cratère CLAVIUS est un des plus important

Vue du cratère Clavius

le cratère CLAVIUS fait 225 km de diamètre et a été nommé en l'honneur de Cristophorus Clavius

on trouve mentions d'un diamètre de 227 km notamment dans "Autour de la Lune" de Jules Verne, nombre qui n'est pas sans rappeler les 227 trouvés dans les énigmes précédentes et la diagonale de 227 km du carré de la SAQC si elle était à tracer 

 

extraits de Wikipédia :

Christophorus Clavius est le nom latin d'un savant jésuite allemand, mathématicien et astronome, né le 25 mars 1538 à Bamberg et mort le 12 février 1612 à Rome.

Biographie

On ne sait pas grand-chose des premières années de la vie de Clavius, mis à part son lieu de naissance, Bamberg, et la date probable, 1537 ou 1538. Nous ne savons même pas avec certitude son nom allemand. Certains ont proposé Christoph Clau ou Klau. D'autres ont émis l'hypothèse que Clavius soit la version latinisée de son nom de naissance qui pourrait alors être « Schlüssel » (« clé » se dit « Schlüssel » en allemand, et « clavis » en latin).

Clavius a rejoint l'ordre des jésuites en 1555. À l'appel de Pedro da Fonseca, il s'est rendu à l'Université de Coimbra au Portugal ; il est possible qu'il y ait eu des contacts avec le grand mathématicien portugais Pedro Nunes. Il alla ensuite en Italie pour étudier la théologie au collège romain de Rome.
Le nouveau calendrier

En 1579 on demanda à Clavius de préparer les bases d'un nouveau calendrier pour corriger la dérive séculaire du calendrier julien. Il utilisa pour cela les Tables pruténiques d'Erasmus Reinhold. Le calendrier qu'il proposa fut promulgué par le pape Grégoire XIII (bulle Inter gravissimas) en 1582 et progressivement adopté dans le monde ; il est toujours en usage aujourd'hui sous le nom de calendrier grégorien.

Il était adversaire du système de Copernic et son rôle de premier plan dans la réforme du calendrier grégorien fit de lui la cible de plusieurs mathématiciens, au nombre desquels François Viète. Ce dernier, dans une série de pamphlets, dont l'Adversus Christophorum Clavium explicatio, accusa Clavius de s'être mépris sur la signification des travaux de son devancier auprès du pape Grégoire XIII, le mathématicien Aloysius Lilius.
Mathématiques

Il a rédigé en 1574 une traduction latine des Éléments d'Euclide, qui comportait beaucoup de compléments dus à ses propres travaux. Cet ouvrage a été une version de base pour les mathématiciens de la Renaissance, dont Descartes et Leibniz.

Éléments d'Euclide : on a là un rapport flagrant entre cette énigme 600 basée sur les éléments chimiques



Par ailleurs, il a écrit aussi un livre d'algèbre en 1608, et fut le premier à utiliser le point décimal.

Son Algebra (Rome 1608) marque la première apparition des symboles «
+ » et « - » en Italie.

la réflexion du chercheur Tigrou est l'évidence même : en trouvant Clavius je n'avais pas fait le lien entre les signes ( -) et ( + ) en tant que POSITIF et NEGATIF, ce qui est en parfaite harmonie avec les procédés photographiques et le décryptage de Niepce.

la clef de passage de la 600 vers la 500 est la notion de calendrier Grégorien qui nous permet de comprendre que Ut queant laxis nous ramène à l'hymne à St Jean Baptiste le 24 juin en rapport avec la lumière de VEZELAY dans la nef à cette date.

nous retiendrons que l'einsteinium de masse atomique 253 est à comparer à la date de naissance de Clavius un 25/3

 

 

 

Précédente ] Accueil ] Remonter ] Suivante ]

Pour me joindre chercheurdechouette@free.fr  pour toute question ou remarque concernant ce site Web.
Copyright © 2008-2020 Chercheur de Chouette
Dernière modification : 07 septembre 2023